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  • : Vous êtes sur un blog d'histoires Yaoi ! C'est la première fois que je vais en faire soyez indulgent. Bonne lecture ! Les propos pouvant être choquant !

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-16
/!\  fautes d'orthographes classées dans le guiness des records  /!\

¤Sommaire¤

I need your love

Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 15:59

              Je sors une cigarette de ma poche tout en continuant de marcher dans mes converses rouge sang, mon jean mal lavé et large traîne sous mes pieds, une fois ma cigarette finit je la jette et remonte la fermeture de ma veste jusqu'au coup rementant correctemet mon écharpe et rentrant mes mains dans mes poches. Une fois que j'ai pris la position d'une tortue en me recorquivant dans mon bout de laine, un tour d'horizon, je monte les yeux tout le long du bâtiment d'un air naturel. Je déteste déménager.

Mon père est un riche entrepreneur il est à la tête d'une grande société de contruction en bâtiment mais il se déplace souvent, ma mère elle est la digne héritière du bureau des plus grand avocat de New-York mais contrairement à mon paternel elle a tout d'une mère parfaite. Elle est présente douce et belle, tandis que mon géniteur est froid, distant et ne pense qu'au boulot je me demande si il se souvient qu'il à un fils qui va avoir dix huit dans dans deux semaines ? Faudrait déjà qu'il se souvient qu'il a un fils. Dut au déplacement de mon père on déménage souvent, ma mère le suit partout elle l'aime comme au premier jour et bizarrement il n'y a qu'elle à qui il sourit malgré la distance qu'il prend avec sa famille. Je n'ai jamais cesser de changer de ville, de pays, de continent ! A chaque fois il y a des nouveaux amis, des nouvelles rencontres mais qui ne durent jamais longtemps. Quand j'étais plus jeune j'en ai beaucoup souffert, enfin quand j'étais plus jeune...il y a de ça deux ans quoi c'est pas non plus trop lointain cela dit j'en souffre quand même moins. Règle numéro un quand on est riche et en déplacemment : ne jamais s'attacher. Règle qui m'a pris seize ans pour la comprendre et enfin la mettre en pratique, après avoir encaisser peine sur peine, rupture sur rupture, déception sur déception on se forge un caractère bien trempé ! Insociable, insolent, indifférent, sans sentiment un vrai coeur de pierre, une barrière infranchissable me protège. Alors voilà, nouvelle ville, nouvelle établissement, nouvelle vie avec duré indéterminer. New York, capitale de la nuit le siège des bureaux juridiques à ma mère sont ici et pourtant c'est la première fois que j'y viens habiter, enfin d'après mes souvenirs. Je vais frenquenté le lycée le plus calme, d'après le prospectuce, c'est ce que voulait mon père il en avait marre que je me batte tout le temps là au moins il est sûr que personne ne viendrait me chercher des noises. Tu parles...cet établissement ressemble à une fourmilière de cas sociaux, a-t-il oublié que le calme de New York n'est pas vraiment exact au calme qu'on emploie habituellement ? L'école me rappelle beaucoup celle de Tokyo, grand battisse à l'entrée avec une horloge tout en haut, je dirais environ quatre étage à cinq étages. Les autres bâtiements sont reliés comme des ailes et forme un enclos qui n'est autre que la court de récréation, magnifique au moins il y a une pause ! 
Finalement je me remet à marcher, la sonnerie a rententit et comme un automate je vais à la vie scolaire pour qu'un surveillant me montre ma nouvelle classe ça permet aussi de regarder autour de moi, les couloirs sentent la poussière je déteste cette odeur, les mur en beton d'une couleur orange peche sont affreux ! Quant au sol...mosaïque alternant marron et blanc. Comment peut on avoir autant mauvais goût ? Ils ont également des escalier en colimasson c'est déjà je trouve ça plutôt marrant. Je suis à le traîne derrière le surveillant et profite de détailler tout les recoins, je regarde par les grandes fenêtres on a une vue d'ensemble sur toute la cours orner d'abre par ci par là, des bancs et des petits carré de pelouse ; pelouse qui maintenant est couverte d'un voile blanc. 
- Tu m'écoutes ? Il m'interpèle alors que je regardais la vue
- Non, dis je naturellement en le regardant
Il soupir là et passe l'éponge.
- Je te fais entrer je dis vite à la classe que t'es nouveau et tu fous pas la merde ok ! 
Il n'attend pas ma réponse qu'il ouvre la porte avec un grand sourire sur les lèvres, je rentre après lui. Tout le monde à cesser de bosser à notre arriver la plus part me regardant d'un oeil intérogateur, curieux, parlent entre eux pour en savoir plus. Une classe en majorité masculine, comme toutes les classes que j'ai connus d'ailleurs je ne vois pas pourquoi je vous dis ça. Après les présentation le professeur me demande d'aller m'assoire tout au fond une petite table n'attendait que mon popotin geler pour enfin finir ma nuit. Je m'installe sans trop faire de bruit pourtant tout le monde me regarde comme une bête curieuse, un phénomène de foire en somme. Très vite je sens que ça m'enerve je jette un regard assasin à toute la classe et chacun son tour retournent à leurs activitées, satisfait je m'affale sur ma chaise en bois laisse mon sac sur la table et m 'endors la tête dans mes bras. Je sens quelques qui me chatouille le nez, quelque chose essaye de me réveiller j'espère qu'il a une bonne raison sinon je lui fait manger mon sac. J'ouvre les yeux et voit un des mecs de la classes rire avec son voisin, je me rends vite compte qu'en faite ce qui me chatouillait était mes cheveux châtain clair qui me tombait devant les yeux. Je me relève baille discrètement et secoue la tête pour enlever les cheveux qui me gênaient, n'ayant plus envie de dormir j'ai regardé les gens à l'opposé, du côté fenêtre. La neige qui tombait dans l'enclos de la récréation me faisait presque mal aux yeux, ils sont tellement clair que la moindre lumière trop forte ou les couleurs très vives et clair me fond mal. Un vert presque tranlucide, comme le couleur de l'eau turquoise des plages thaïlandaises, ma mère me disait souvent qu'elle y voyait beaucoup d'eau, elle disait que j'étais aussi fort que l'eau. Elle adore ce genre de conneries boudhiste.
Deux heures d'économies passées je suis le mouvement de groupe, des filles passent à côtés de moi en gloussant, l'une d'elle se retourne puis devient toute rouge, intérieurement je ris. Qu'elles sont pathétiques. Je sens un bras se poser lourdement sur mon épaule, étonné je regarde celui qui a osé. Une petit brun, enfin petit ce n'est pas très approprier c'est vrai disons que c'est moi qui suis grand. Je fais un mètre quatre vingt je suis dans la moyenne d'un homme normale non ? Le mètre qautre vingt c'est parfait ! Lui il ne doit pas être plus haut qu'un mètre soixante quinze, un grand sourire il me tend sa main.
- Je m'apelle Klay
- Vincent. Je sers sa main puis repousse son bras
- Alors parait que tu voyage souvent ? 
- Les rumeurs vont de bon train, dis je un petit sourire ironique
- Les surveillants sont souvent les plus grandes comères du lycée, il dit en riant
- Je vois.
- Allez viens avec moi je vais te présenter tes nouveaux potes ! 
Je le suis sans bronchés lorsqu'à mon plus grand étonnement une bonne vingtaine de gars et filles squattant un endroit à porter de tous les regards, je n'ai jamais vu un groupe d'amis aussi grand, dut moins pas dans un lycée. Klay me présente à tout le monde avec enthousiasme, ce mec respire la joie de vivre ! Moi qui suis un peu trop morose j'ai l'impression que je vais bien m'amuser durant ce séjour. 
- Putin le voilà..., murmure une fille le sourire aux lèvres 
Elle me parlait depuis tout à l'heure et à enfin changer de sujet, finalement c'est quelqu'un d'autre dans la cours qui l'intéresse, je suis son regard et tombe sur un mec d'une vingtaine d'année. 
- Qui sait ? Je demande innocement
- L'homme de ma vie, dit elle en riant, notre prof principale Mr. Culigan, prof de maths. 
- Maths ? Je regarde à nouveau le professeur
Il a une marche assurer et presser, sa veste longue noire ouverte virvolte sous le vent et laisse voir un pull bleu foncé avec un col roulé fin, un jean foncé et des chaussures noires également. De long cheveux noir coiffés en queue de cheval, il avance à travers la court faisant tourner tous les regards sur lui. Sa peau aussi blanche que la neige j'avais comme l'impression de voir un ange au milieu de toute cette pureté. Il nous lance un regard furtif dur et sans émotion et rentre dans un des bâtiment presque en courant. Ce mec avait reussit à rechauffer toute l'atmosphère je sentais comme un vent doux me carresser le visage, je le revoyais sans cesse avec sa marche élancé puis son regard transperçant qui avait suffit à me chambouler. 
- Vincent sa sonne tu viens ? S'exclame Klay en voyant que j'ai pas bougé
Je sors de mes rêveries, mon coeur s'est remis à battre et je suis me précipité vers mon collègue pour monter en cours. On est rentré dans le même bâtiment par la quelle le prof est passé serai ce possible qu'on aille cours ensemble ? A cette idée j'eu comme un sentiment de panique ! Je ne comprenais pas ce qui m'arrivais mais je ne voulais pas le revoir il m'avait complètement déconcerté, j'avais l'impression d'être perdu je ne comprenais plus rien ! 
- Entré, dit un professeur
Je suivais d'une oreille ce que me disait Klay en rentrant dans la salle j'étais trop occupé à essayer de comprendre mon comportement mais quoi que je fasse je revoyais cette démarche, ce regard, cette démarche, ce regard, cette...
- Monsieur Mayon
- Hein ? Pardon, dis je en levant les yeux 
Oh non...
- Peut être mon cours ne vous intéresse pas ? Peut être est-ce moi qui suis ennuyeux ? Peut être vous faut il une heure de colle pour faire ce qu'on vous demande en classe ? 
- N-non, béguyais je
Bordel de merde il a fallut que je tombe sur lui ! Il a des yeux marrons noisettes presque rouge ! Une étonnante couleur mais à l'heure qu'il est il me tuait du regard.
- Nouveau ou pas je m'en moque on se permet pas de ne pas écouter en cours c'est clair ? 
- Euh...oui, dis je en reprenant mes esprits
Il repart donc vers le tableau où il finissait son hypothèse sur je ne sais quel exercice ! Pour la deuxième fois en même pas une heure il me destabilise ! C'est incroyable. De plus il se permet de me parler de cette façon aucun professeur n'a encore osé me tenir tête. Finalement cette surprise et cette sensation d'étonnement se transforment petit à petit en colère, ma fierté en était blessée ! Jamais personne ne m'avait autant marqué et encore moins pris le dessus. 
- Calme toi Vince', me dit Klay à ma droite, il est comme ça avec tout le monde sous ses allures de brun tenêbreux c'est un vrai sadique
- Je sais pas si j'ai envie de l'étrangler ou de lui demander comment il fait pour attirer autant l'attention des gens, dis je à mon tour
- La première fois il fait un choc à tout le monde ! N'importe qui te dirai qu'il est canon même les mecs...
Je le regarde étonné, serait il homosexuel ? Je ne sais pas si il a compris le sens de mon étonnement mais il me fait un grand sourire et continu à prendre note. Encore une surprise il semblerai que le mec le plus populaire du lycée soit gay ! Je vais en avoir combien des comme ça ?  
   

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 20:17
                   La sonnerie retentit, la fin des cours de la journée et il a fallut qu'on divise nos deux heures de maths en un cours de dix à onze et ensuite de dix-sept à dix-huit heures ! Quelle poisse de retomber avec le tyran ce mec à le don de me mettre en rogne. Je range mes affaires le plus vite possible pour quitter cette école déjà épuisé par la première journée de cours alors que j'avais prévu de répouiller durant tous les cours mais avec Mr. Culigan impossible ! Il me surveillait comme si j'étais déjà dans la liste rouge. Je commence à courir pour partir quand soudainement je sens qu'on me tire en arrière et prie pour que ça soit Klay qui m'en demandant d'attendre malheureusement ce n'était pas lui, c'était le tyran au regard assassin. Je vois tout le monde défile devant moi ils me jettent des regards de compassion ; bande d'enflures ! Venez pas m'aider ! 
- Monsieur Mayon il faut qu'on parle..., dit il d'un ton calme mais glaciale
- Je suppose oui. 
- Assie toi ce que je vais te dire est très important. 
Maintenant il me tutoies ? Il est trop zarb' ce mec ! 
- Tu as des notes catastrophiques en maths je ne sais pas si tu te rends compte mais je t'assure que je ne te laisserai jamais passer avec ça ! 
- Les maths n'ont jamais été mon fort Monsieur Culigan, dis je d'un ton arrogant 
Il me regarde intensement et croise les bras se callant confortablement contre le dossier de son siège. 
- Tu es en ES Vincent tu ne pourra jamais avoir ton BAC si tu continues.
Vincent...bordel ! Qu'est-ce qu'il me prend ? Pourquoi j'ai des frissons quand il pronnonce mon prénom !! 
- Tout va bien ? Tu es tout pâle, dit il d'une voix plus douce 
- Ou-oui oui ! Très bien vous avez raison ! Je vais progresser au revoir monsieur 
Je me lève dans la précipitation mais malheureusement tellement rapidement que je tombe de ma chaise, je l'ai vu se lever pour venir m'aider en courant c'est limite si il a pas plongé pour me ratrapper. 
- Tu t'es fait mal ? Il me demande inquiet en touchant ma tête
Je ne bouge plus, je sais pas quoi faire, Mr.Culigan n'est plus le même, je suis chamboulé de le voir si inquiet pour moi alors qu'il y a peine quelques minutes il était un vrai tyran à mes yeux ! Il fronce les sourcils voyant que je ne réponds pas il tâte mon front tout en me fixant, je n'arrive pas à dire quoi que ce soit, il est penché au dessus de moi. Je remue les lèvres essayant de prononcer un mot mais pas même un son ne sort, la gorge sèche je déglutis difficilement. Je n'ai pas remarqué qu'il avait la mani de passer sa langue sur les siennes plusieurs fois, les petites rides qui se formaient sur son front l'embelissait encore plus...je n'avais plus qu'une envie c'était que mes lèvres rentrent en contact avec les siennes. 
OH !!! Je me relève soudainement étonné il fait un mouvement de récule et me regarde incrédule, moi je bafouille je ne sais pas quoi dire ! Mon Dieu je...je suis attirée par un mec !!! NON c'est pas possible pas par un mec non ! Je le fixe les yeux écarquillé de peur...son petit air d'incompréhansion total le rend encore plus craquant...OH MERDE BORDEL TA GUEULE !! 
- Désolé...,reussis je à dire entre deux grandes bouffés d'oxygène
Il hausse les sourcils secoue un peu la tête et souris tendrement.
- Tu m'as fait une peur bleu..., dit il souriant
ARG ! C'est comme si une flèche venait de me transpercer la poitrine non là il m'achève ! Je suis très impulsif alors s'il vous plait arrêtez ça je sens que je vais faire une crise cardiaque. Attirer par les hommes ? C'est fou comme mon coeur s'emballe rien que d'entendre sa voix je me sens bizarre, je ne me sens pas à l'aise et en même temps j'aimerai qu'il ne s'arrête jamais. Il se relève et me tend sa main pour m'aider à me lever, je la prend volontiers, sa peau douce me donne des frissons, je suis confu ! Je sais très bien ce que ça veut dire je ne fais pas l'innocent ne croyez pas que je suis con à ce point. Moi par les hommes ? Alors que j'étais un vrai coureur de jupons partout où j'allais je sautais toutes les bonnasses à disposition mais lui...comment peut il autant me faire cette effet là ? Je récupère mon sac par terre, je sens son regard surement d'instinct je me redresse automatiquement et lui fait un signe d'au revoir. Je ne tiens pas à rester avec lui une minute de plus ! Je réfuse d'être attiré par un mâle ! Il faut que je baise ouais c'est la seule solution je dois trouver mon coup de ce soir.
Et quel meilleur endroit pour pécho des filles que les boîtes de nuit ? Finalement à dieu les devoirs pourrit que je vais devoir me dépécher de faire dés que je rentrerai je dois calmer ma libido. J'appelle un taxi pour m'y rendre n'ayant pas encore le permis puis de toute manière c'est plus pratique comme ça je rentre en un seul morceau. La boîte, le seul endroit où je suis vraiment habillé comme il se doit mais toujours mon style à moi. Jean large avec des converse spécialement pour cette occasion, ma veste noire de mon costume, une chémise noir également et un débardeur moulant noir aussi. Franck, le videur me connait à vrai dire le patron de la boîte est un client à mon père et j'ai déjà vu la plus part de ses gardes du corps, il me sert la main et me laisse entrer. Le son électro m'explose dans les oreilles, je fonce au bar pour prendre mon premier verre de la soirée qui sera suivit d'une longue lignée, à peine mon cul poser qu'une fille s'approche me faisant la conversation. Un quart d'heure à suffit pour qu'elle soit littéralement collé à moi, j'enchâine les verres sans trop me souler il fallait rester sobre pour que popole fasse ses preuves, des années d'expériences ne sont pas inutiles. J'enfile rapidement mon dernier verre de tequila et la prend par le bras pour me diriger vers les toilettes, je ne pense ne pas avoir besoin de vous dire que j'y vais pas pour mon intestint mais bien pour le sexe. Je ferme la porte derrière nous, elle s'aggripe à coup brusquement emprisonnant mes lèvres je l'ai dirigé vers l'un des cabinet et j'ai fermé à clés sans même regarder ; l'habitude. Un baiser fougueux et passioné elle se donnait tellement de mal alors pourquoi le caporal reste coucher ? Je ne ressens pas la moindre excitation qu'est-ce qui va pas chez moi ? Peut être qui si je m'y met aussi j'aurai plus d'effet. Décidé je prends l'un de ses seins avec dextérité et le masse tout en titillant son téton je l'embrasse dans le coup et elle me plaque à son tour contre la porte sans aucune préparation elle descend mon pantalon facilement et s'attaque à mon boxer. Je me sens bizarre, j'ai envie qu'elle s'arrête finalement le caporal n'a pas du tout envie de se réveillé ni mes hormones ! Bordel ! Je la pousse et range le matos devant sa mine dubitative. Je sors des chiotes et me met devant le miroire les mains sur la tête d'enervement.
- Qu'est-ce qui va pas chez toi ? Je me casse...
Puis elle se barre vexée surement de s'être pris le plus gros vent de toute sa vie. Je donne un grand coup sur le lavabo ! Comment c'est possible bordel de merde ! Je suis un mec un mec ! J'aime les nichons de nana, la bouche des nana, les fesse de Culi...oh mon dieu. Je pose mes mains sur ma bouche comme si j'avais dit une connerie ou penser c'est pareil ! Encore plus paniquer je sors des toilettes et percute des tas de personnes peut être une de trop car je m'étale par terre en me cognant la tête sur le sol froid et tremblant par le son et les pas des danseurs. Qu'est-ce qu'il m'arrive...quand je ferme les yeux je ne pense qu'à lui, quand je réfléchis je pense qu'à lui, qu'est-ce que j'essaye de me prouver en faisant ça ? Je ne sais plus où j'en suis son regard, son sourire tout ça me hante. Je reste couché là par terre manquant à chaque fois de me faire écraser, je plane presque, les yeux perdus dans le vide je cherche peut être une lumière qui pourrait m'éclairer m'explique ce qui ce passe. La personne qui m'avait fait tomber s'abaisse doucement accroupi devant moi et me fixe, c'est drôle même quand j'ai les yeux ouvert je le vois partout.
- Hein ! Je me relève d'un seul coup, mon..mons...monsieur Culigan ! Mais que faites vous ici ?
- C'est public je pense non ? Tu aimes bien rester par terre à ce que je vois, dit il en rigolant
Oh la honte ! Je me suis vautré devant lui ! Je baisse les yeux et de gêne et regarde autour de moi, personne ne prête attention à nous c'est déjà ça je me sens tout con devant mon professeur. 
- Allé pour me faire pardonner je t'offre un verre, dit il avec un sourire irrésistible
Je n'ose pas refuser je le suis jusqu'au bar, je continu malgré moi de regarder autour de nous comme si j'avais peur qu'on me reconnaisse ça paraitrait suspect qu'on me voit en sa compagnie surtout quand il est gentil. Je laisse porter mon regard vers ses habits, il a une costume bleu foncé particulièrement séduisant, son corps athlétique et bien mis en valeur, ses long cheveux noir ébène tombe dans son dos lui donne un air comptemporain. Il me rapelle ces poetes perdu dans leur passé et leur monde, ces poetes que tout le monde oubli de nos jours, ses yeux rouge sintillent de mille feu et commande deux bière pendant que je le reluque de la tête au pied. Il a des fesses parfaites, rebondit, ronde, une forme superbe n'importe qu'elle femme craquerai pour lui alors pourquoi est-il seul ce soir ? Peut être ne l'est-il pas ? 
- Vous...enfin vous êtes venu seul ? Je demande en buvant à grande gorgé mon verre
- Oui je viens très rarement mais ce soir j'avais envie de sortir, dit il le sourir au lèvre, et toi tu n'as pas ta petite amie avec toi ? 
- Je n'ai pas de petite amie, je dit faiblement
J'aurai prier pour pas qu'il m'entende mais il avait parfaitement compris malgré tout mes efforts. J'ai suivit du regard une mèche de ses cheveux fin qui lui tombait sur la joue restant collé à sa bouche qu'il chassait d'un rapide geste de la main, des lèvres fines et rosés la peau laiteuse faisant ressortir son côté angélique. Il sourit encore une fois, des petits plis firent leur apparition dans le coup de ses joues ; quel bel homme. 
- Vincent ? 
Merde ! Je suis sûr qu'il a remarqué que je le mattais ! Putin je suis un boulet mon dieu qu'est-ce qu'il va penser de moi ? Que je suis un ados en manque ou quoi ? Olalalala mais qu'est-ce qui m'arrive j'ai des bouffé de chaleur, les gouttes de sueurs perle déjà mon front de stresse. 
- Pardon je vais vous laisser je pense que je vais rentrer, dis je en posant mon verre, merci pour ce verre. 
Je suis parti honteux de cette journée ! Je ne me suis jamais payer autant la honte de toute ma vie et je crois que le comble du comble c'est que même avec ce froid hivernal...je bande.
 
                     
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 14:30

Merci pour vos commentaire :pp Je vous adore ^^ 

                 Il neige dehors, superbe j'ai gagné le droit de marcher à pied parce que cette merde téléphone n'a plus de batterie !! C'est quoi cette soirée de merde ?! Ils ont décidés de s'acharner sur moi ou quoi ? Bon allée on reste zen et on marche dans le calme laisse popole redescendre petit à petit, si tu ne penses pas à lui il va rejoindre très vite sa position initiale...MAIS JE PENSE A LUI ! Je me met à courir je ne sais pas pourquoi mais j'adore courir, je cours pour m'éloigner le plus possible de cet homme il m'a changé et je refuse de changé ! Je continu de courir sans m'arrêter j'ai pas le droit de m'arrêter ! Plus vite ! Toujours plus vite ! 
- Je te rammène ? 
Une voiture s'arrête à côté de moi, un homme ouvre la fenêtre du passager, il n'est surement pas bourré mais il ne m'inspire pas confiance du tout il a un regard qui me glace le sang, surtout que son regard s'attarde sur la bosse qui s'est formé sur mon jean (qu'on voit à peine). Mon coeur s'emballe c'est bien la première fois que j'ai peur de quelqu'un mais là je me sens vraiment en danger : il a la carrure d'un rugbyman ! Puis je connais pas les américaine le seul homme américain que je connaisse est responsable de cette bosse.
- Je peux m'occuper de ça aussi si tu veux..., dit il en passant sa langue sur sa bouche
Je me remet à courir à vive allure je dois essayer de le semer il me fout les chocottes ce gars ! J'entends la voiture qui redémarre rapidement mais qu'est-ce qu'il me veut bordel ? Tout le monde à décidé d'être gay ou quoi ?! Je continue de courir et reconnais un arrete de bus je regrde derrière moi et ne voit plus de voiture (AMEN) je marche en reprennant mon souffle. C'est une ville de dingue arriver chez moi je vais demander à mon père le déménagement immédiat de son fils chéri ! ...rectification je vais demander à maman. Je vis seul, mon père ayant juger que j'étais assez grand pour avoir mon petit studio n'a pas été contre quand je lui ai demandé. Je me souviens que ma mère avait pleurer mais je ne pouvais pas continuer à vivre avec eux avec l'indifférence de mon père, c'est le pire des cas je préférais encore qu'il hurle sur moi qu'il me frappe plutôt qu'il ne sache même pas que j'existe. Et voilà je me remet à penser à ça...je revois ma mère sourire quand elle apportait mon petit déjeuner je la revois heureuse avec un fils et un mari mais pas un père, non il ne méritait pas d'être père ! Il ne la mérite pas non plus ! Mais ils s'aiment et ils sont bien sans moi...j'ai pas besoin d'exister ils étaient bien sans moi...sans moi...
- T'as voulus me semer ! 
Merde la voiture noire de tout à l'heure ! Je commence à paniquer j'ai pas le temps de courir que le gars sort déjà de sa voiture, je dois faire quoi je commence à paniquer comme une fiote ! J'ai tous les symptôme de l'homosexuel type ça craint...
- Je ne te veux que du bien pourquoi t'as peur ? Il me demande un grand sourire pervers sur les lèvres
J'allais dire quelque chose quand je sens quelqu'un me sauter sur le dos je failli basculer en arrière étonné je me retourne et tombe nez à nez avec le sourire tendre de Mr.Culigan suivit d'un petit clin d'oeil. 
- Je t'ai fais attendre chéri je suis désolé, il dit d'un ton enjoué
Le gars de la voiture noire soupire et part dans sa voiture en trombe comme si ne rien était. Moi je reste bloqué j'aimerai remercier Mr.Culigan il vient de me sauver les miches et c'est pas une façon de parler. Attention : petit cerveau vient de faire une découverte !
* Quelqu'un est contre moi
* Me prend dans ses bras
* M'a appelé Chéri
* Mr Culigan
Il en faut pas plus pour que le caporale se mette en route à nouveau, bravo bravo monsieur...je n'ose même pas faire un mouvement pour me défaire de son étreinte tout simplement parce que j'en ai pas envie, j'ai l'impression qu'il attend qu'on ne voit plus la voiture pour me lâcher. La voiture avance toujours et tourne à la prochaine ruelle ça y est on la voit plus mon rêve va se terminer ici...ici...ICI ! Il me lâche pas ! La bosse commence vraiment à me faire mal j'ai interet de m'écarter de lui sinon je vais faire une émoragie. Je me sens au chaud dans ses bras pourquoi j'aurai envie de m'écarter ? Parce que tu vas faire une crise cardiaque ! 
- Monsieur..., mon cerveau à eut raison de moi je le rappelle à l'ordre
Il ne dit rien et ne me jette pas c'est surtout ça qui me perturbe, ses mains qui étaient sur mes épaules s'écartent pour rentrer dans ma veste et toucher mon torse par dessus le tissu. 
- Monsieur..., dis je d'une voix semblant s'échapper du plus profond de ma poitrine 
Il s'écarte doucement de moi, j'ose même pas me retourner pour le regarder j'ai peur qu'il remarque mon chamboulement mais j'ai surtout peur qu'il remarque mon troisième bras en détresse. Je m'assois lourdement sur un des banc de l'arrêt de bus et attend le prochaine qui ne devrait plus tarder, timidement je tourne mes yeux vers mon professeur il est debout les mains dans ses poches et me fixe sans émotions. Je baisse les yeux de nouveau je sais que mes joues sont en feu tout en moi et en feu quand je le vois lui ! Maintenant c'est sûr je peux pas le nier je suis à fond dans ce type...je suis devenu bi c'est une certitude mais de là à dire gay je ne pense pas...
- Si tu veux je peux te rammener chez toi tu vas avoir froid le bus n'arrive pas avant minuit, dit il en sortant une cigarette
Je vois la fumer s'échapper de sa bouche sensuellement, je me lève et prend la cigarette sous son air étonné je tire une longue taff et recrache comme je venait d'aspirer la plus grand bouffer d'oxygène jamais prise. Je remet sa cigarette entre ses lèvres perplexe restées entre ouverte, je fais bien expret de les effleurer à peine et affiche un sourire de soulagement. Oui une bouffé de nocotine ne m'a jamais rien fait de mal j'en suis heureux ! Je reste face à lui les mains dans les poches attendant qu'il se décide pour bouger, une mintute passé comme ça sans bouger c'est long mais il se décide finalement de me conduire chez moi. On rejoint sa voiture garer pas très loin, une grosse Benz grise métalliser, quel bijoux ! J'adore les voitures ! Celle ci n'est pas loin des trois cent chevaux, vous vous en fichez ? Ok je ferme ma gueule. Je pose donc mon cul sur ses sièges en cuir noire, il a encore la cigarette dans la bouche et démarre doucement. 
- Tu ferai bien de m'indiquer où tu habite, dit il d'un ton ironique
Je lui fait des signe pour tourner dans les route à suivre, enfin j'ai finit il a trouver l'immeuble dans la quelle je logeais. Je souris lui demande une cigarette mais il ne semble pas vouloir me donner un petit remontant, il ne me rend pas la tâche facile. Je soupir et approche ma main de son pantalon pour tater voir si le paquet était là, content de voir que je le destabilisais je ne me suis pas gêner pour être plus long. Je remonte les mains dans son veston je trouve enfin une poche avec l'objet désirer je sors une cigarette et la met dans ma bouche je sors de la voiture sans un "au revoir" ni un "merci". Je l'allume à quelque pas des marche qui montent dans mon immeuble, chaque nouvelle bouffé est un peu de stresse évacué. J'entends une portière claquer, Mr.Culigan arrive derrière moi avec sa cigarette dans la bouche, un air froid mais très calme ! J'admire son calme. Moi j'ai un sourire sournois sur les lèvres j'adore le provoquer, c'est à mon tour de le destabiliser il s'est assez joué de moi. J'ai remarqué tout à l'heure qu'il avait été beaucoup trop proche quand il me prennait dans ses bras se pourrait il que lui aussi soit attirer par mon corps trop frèle ?
- Il me semble ne pas avoir entendu un merci venant de ta bouche, dit il toujours aussi froid
- Vous êtes sourd monsieur alors, me moquais je 
Un courant d'air fit virvolté ses cheveux long j'en était éblouis par sa beauté incomparable, il regardait à sa droite jeta sa cigarette rapidemment il franchi les quelques mètres qui nous séparait pour être en face de moi, beaucoup trop pret à mon gout, son corps collait littéralement le mien. D'une voix sensuelle il s'approcha encore de ma bouche qui frémissait à l'idée que la sienne ne soit qu'à quelques centimètres.
- Je veux l'entendre encore une fois...
Sans que je puisse dire quoi que ce soit il s'empara de mes lèvres tremblantes pour m'embrasser tendrement. Je n'ai jamais ressenti autant de magie dans un baiser, sa main droite était sur mon visage touchant mes cheveux châtain qui volaient également sous le vent.


Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Dimanche 23 décembre 7 23 /12 /Déc 15:03

                          "BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIPPPPPPPP" " BOUMMM"
Le premier bruit c'était mon réveil, le deuxième c'est que je dois en acheter un nouveau. Je me lève lourdement, j'ai l'impression de ne pas savoir où je suis mais je sais en tout cas c'est que je dois aller en cours. Doucement mais surement j'atteint ma douche et allume le jet pendant que je me déshabille, l'eau coulant sur mon corps frèle, une peau laiteuse, pas assez musclé ni trop maigre. On me disait souvent que j'avais un corps de fille, ma corbure de rein en faisait baver plus d'un aussi hétero soit il, je ne ressemblais pas non plus à la plus cliché des femme ! Mais j'avais comme ils disaient "un petit cul rebondit". Un frissons me parcourut bursquemment me rappelez de certains événements ne seraient pas une bonne idée, je coupe le jet et sors avec ma serviette autour de la taille. J'attaque mes habits, fait mon sac, retourne dans la salle de bain et avec la main j'enlève la buée de mon miroir. Mon visage aux traits fin, mes lèvres fines et légèrement rosés, mes yeux vert en forme d'amande ; vraiment je ne voyais rien de bien chez moi. Comment ce professeur à put m'embrasser ? 

Ma montre sonne ça sinifie que si je ne pars pas maintenant je vais être en retard pour mon cours de Géo ! Je sors à toute vitesse et prenant bien la peine de fermer à clés et courant presque pour attraper mon bus, c'est ce que j'appelle mon sprint du matin. 

Une fois arrivé devant le lycée si bien ronommé, j'ai senti quelqu'un me sauter sur le dos, me rappellant de la vieille je me retourne un grand sourire au lèvres mais qui s'éteint automatiquement.

- C'est toi Klay...

- Bah qui voulais tu que ça soit ? Rigole-t-il

Si tu savais Klay...si tu savais, ce conard de Culigan c'est barrer toute suite après avoir déposer le plus beau des baisers, il s'est barrer me laissant pétrifier sur place sans un mot. 

- Vincent il faut que je te présente une fille ! 
Klay me tire par la bras soudainement comme pour me sortir de ma rêverie, je devais avoir un visage assez mélancolique pour être aussi presser, cela dit ça ne m'étonne pas...je regrette vraiment ce qui c'est passer la vieille car j'en suis plus malheureux qu'heureux. 
- Je te présente Jena
- Salut, me dit la fameuse Jena
- 'lut, je dis à mon tour
Elle avait vraiment tout de la super belle fille, de long cheveux chatain bouclé, un sourire à faire chaviré la plus grosse des brutes, des yeux noisette absolument craquant. Puis un corps de rêve ! Les formes où il faut le style vestimentaire simple mais qui lui allait tellement bien. Seulement voilà...moi je restais de glace cette fille ne me faisait pas le moindre effet.
- Je suis contente de te rencontrer Vincent, dit elle en rougissant un peu, depuis peu je te voyais traîner avec les autres mais j'avais un peu peur de t'approcher je suis assez timide ! Rit elle de nervosité
- Hum.
Elle devra se contenter des petit bruit signifiant " Ah bon ?" ou encore " Oui", "Non" pour réponse, j'avais vraiment pas envie de lui parler. La sonnerie mis enfin fin à mon calvaire, j'ai put aller en cours tranquillement. C'est définitif je suis bien homosexuel rester de marbre face à un canon pareil n'est pas normal, je me dégoute presque. 
- Eh psst ! 
Je me retourne sur ma gauche, je voit Klay à quelques mètre de moi me faire des signes pour que je le remarque, je le regarde les sourcils levés l'air décomposé, je ne sais pas trop si j'ai encore envie de venir en cours (j'en ai jamais eut envie.). Il essaye de me mimer quelques chose et ce que je comprends c'est "Toi...soirée...ce soir". Il veut que je vienne à une soirée ? Mauvais plan j'aime pas les grosse fête où tout le monde ne me connait pas, parce que je sais que je vais me faire draguer par n'importe quoi y compris les mecs. "C'est HORS de question" je lui ai mimer à mon tour, il fait une mine boudeuse et me sourit pour rattaquer les cours passionnant du prof gras et laid. Aujourd'hui je n'ai pas maths et c'est presque une bénédiction de ne pas le voir, je suis trop déprimé pour lui faire face j'ai pas envie qu'il me pose des questions ou pire ! Qu'il m'ignore. C'est donc dans la même morosité que je fini mes cours de la journée arrivant maintenant bientôt à la fin, je suis pressé de rentrer chez moi et de m'affaler devant ma télé pour m'endormir devant et me reveillé avec un mal affreux à la nuque parce que j'aurait dormi la tête sur le accoudoire. Comme d'habitude je suis le premier à sortir de classe, le professeur ne dit rien lui, aucun ne se préoccuper de moi si je prends mes cours t'en mieux sinon t'en pis. Je cours dans les couloirs (je passe ma vie à courir) espérant dans mon fort intérieur de cogner mon beau professeur, mais rien y fait je suis arrivé devant mon arrêt de car à temps et en plus je n'ai bousculé personne j'ai juste entendu le cri lointain de Klay qui me souhaitait une bonne soirée. Bonne soirée mon cul ! Hop mon plateau télé, mon canapé design que ma mère à choisit, ma écran geant sur N.C.I.S. et voilà que je ressemble à une fille qui vient de se faire plaquer...c'est pathétique.
Tiens je vibre ? J'ai un message pour ceux qui connaisse pas cette expression. Je regarde avec attention c'est Klay "J'arrive". Mais quel abruti ! Je lui ai dit que je venais pas bordel de merde !! Je lui renvois un message pour le prévenir à nouveau et voilà maintenant je suis en rogne parce que j'ai encore espérer que ça soit ce connard de prof mais au fond je sais qu'il a même pas mon numéro ! 
Toc toc
- Bordel Klay je t'ai dis que je venais pas tu te fou de...
- Bonjour Vincent. 
Oh...mon dieu...il est là...il est bien là ! IL EST LA !! J'ai envie de lui sauter au coup mais ça serai suspect et puis il ne m'a embrassé qu'une fois et puis rien est officiel puis qu'est-ce qui me prend je sors pas avec des mec ! Oui mais lui c'est pas n'importe quel mec...enfin merde je suis perdu ! Je reste bouche baie devant l'encadrement de la porte et le laisse entrer tranquillement. Ses yeux font un tour d'horizon, ses yeux perçant parcour mon chez moi doucement avec un léger sourire. Je finis par fermer la porte et m'avancer doucement vers mon canapé, il regarde en ma direction en suivant mon trajet. 

- Vous voulez quelque chose à boire ? Je demande innocement en prenant mon plateau

Il ne me répond pas je pose mon plateau sur le comptoire de la cuisine et revient comme si j'attendais une réponse mais tout ce qu'il affiche c'est un petit sourire sur le coin des lèvres.

- Vous voulez autre chose ? Je demande moins innocemment

- Tu me provoque Vincent ? Dit il en avançant  vers moi

De reflexe j'ai recule brusquement pour m'écraser assis sur mon canapé regardant mon professeur. Il se place entre mes jambes sans me quitté des yeux toujours avec son sourire, il enlève sa veste noire longue pour la pose à côté et dévoile une chemise blanche sortant du pantalon, le noeux de cravate complètement défait, il ressemblait à un acharner du travail qui venait de finir un boulot épuisant. Je déglutis difficilement face à ce bel homme, ces long cheveux noire tombaient sur ses épaules comme une cascade, ses yeux marron/rouge me fascinaient, ses lèvres fines et humides m'attiraient de plus en plus. Et voilà il n'en fallut pas plus pour que je bande...mais je n'osais rien faire j'étais omnibuller par lui. Je remarqua qu'il eut comme un sourire satisfait et doucement il se posa sur moi en califourchon, encore une fois je ne bougeais pas je le laissais faire. Il était bien plus carré que moi, sans non plus trop l'être il avait la physionomie d'un homme moyen mais je ressemble quand même à un cur-dent. Avec une douceur incomparable il posa sa main sur ma joue remontant dans mes cheveux, il dessinait les formes de mon visage avec ses yeux et son sourire avait disparut laissant place à une simple analyse des courbes de ma figure. Il avait un regard doux et protecteur, quelque chose que je n'avais jamais connus, mon coeur battait la chamade chaque mouvement de sa main sur mon visage, j'ai fermé les yeux de bien être. Jamais je ne m'étais senti aussi bien, jamais je ne me suis senti aussi...aimer ? Quelque chose de chaud et humide s'est posé sur mes lèvres, je reconnus toute suite les siennes pour les avoir gouter la vieille, je reconnus toute suite la tendresse dont il faisait preuve...quelle béattitude. Comment pouvait il me rendre aussi heureux ? Je planais presque. Il s'est rettiré de notre baiser devenu trop fougueux mais sans me lacher des yeux il a retrouvé un sourire tendre pour enfin se retiré de sa position et se remettre debout. 
- Monsieur Culigan je suis un peu perdu..., dis je en reprenant mes esprits
- Comment ça ? 
- Mais voyons vous êtes professeur ! 
- Bonne déduction mais encore ?
- Je suis votre élève et je suis mineur vous n'avez pas peur d'avoir des problèmes ? 
- Tu as peur toi ? Il me demande avec un sourire réconfortant
- Oui, dis je tout doucement en baissant la tête
J'ai peur monsieur mais ce n'est pas des autres, c'est de vous ! Si jamais vous ne voulez plus jamais me voir j'ai peur de ne pas m'en remettre. 
- Peur de quoi Vincent ? Dit il en s'accroupissant devant moi
- Je...je sais pas...
- C'est vrai que je suis professeur et toi mon élève mais peu m'importe on fait rien de mal je t'ai juste embrassé je vois pas le problème.
Juste embrassé...
- Oui mais monsieur Culigan
Il se penche vers moi sans sourire mais en gardant un regard doux. 
- Appelle moi Raphaël quand nous sommes seul ça serai mieux non ? J'ai l'impression d'être vieux quand tu me parles comme ça après tout je n'ai que vingt sept ans.
- Raphaël ? 
- Oui il y a un problème ? 
Raphaël...ce prenom ne m'avait jamais sembler aussi beau que maintenant.
  

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Jeudi 3 janvier 4 03 /01 /Jan 20:49
                               Je me lève à mon tour avec un léger sourire sur les lèvres, le fait qu'il me laisse l'appelé par son prénom signifie peut être qu'il envisage quelques chose...enfin j'en sais rien moi ! Faut pas que j'espère trop non plus je ne le connais même pas. C'est assez direct comme relation, elle n'est fonder sur rien. Mais je ne dois pas me laisser aller qui sait ! 
- Vous avez déjà manger mons...j'ai un peu du mal, dis je gêné
Il rigole amuser par la situation et me carresse la joue doucement pour déposer un baiser chaste.
- C'est rien...non je n'ai pas faim.
- Je peux te demander pourquoi tu es venu ? 
Quel sensation bizarre de le tutoier.
- J'avais envie te voir ! J'avoue que ça n'était pas très gentil de ma part de te laisser en plan comme je l'ai fait. Il se retourne le regard coquin. Je voulais retrapper le coup à ma façon...
- C'est reussit en tout cas..., je dis en rougissant
- Je vois ça, dit il en s'approchant
- Je suppose que les questions défilent dans ta tête.
Si tu savais ce qui défile dans ma tête. Son téléphone sonne il répond et fronce les sourcils il n'a pas l'air content et raccroche quelques secondes après qu'on lui ai dit quelque chose. Je m'assois en attendant et il s'assoit en face de moi en reprenant un sourire doux et seducteur à la fois. 
- C'était qui ? Je demande innocement
- Mon père. Dit il sans quitter son sourire
- Tu ne t'entends pas bien avec ton père ? 
- Pourquoi veux tu parler quand on pourrait faire autre chose...
Il me carresse la lèvre avec son pouce, doucement je ferme les yeux et pourtant j'aimerai tellement en savoir plus sur lui, sur sa vie, ses loisirs, sa famille. Il m'embrasse encore une fois avec une sensualité trop parfaite ! Je me remet à bander comme un malade sentant sa langue jouer avec la mienne c'est tellement agréable...humm je ne serai pas décrire cet act à sa perfection ! C'est au dessus de tous plaisir c'est divin ! Je sens qu'il se sert de plus de plus à moi, me basculant sur le canapé il se retrouve maintenant au dessus de moi. Il se redresse ses long cheveux de couleur charbon forme comme un rideau et seul ses yeux vermillon éclaire le désir qui nous anime. Sa main se balade sous mon t-shirt, je me crispe au contact de celle-ci brûlant chaque parcelle de ma peau qu'il effleure. Il m'embrasse le coup doucement en laissant voguer sa main sur tout mon torse, sa langue chaude et humide forme des légers va et viens dans ma nuque, mon coup, mon lobe remontant sur mon menton et mourrant sur mes lèvres. Mes mains se prennent au jeu et sans m'en rendre compte elles agrippent son dos brutalemment quand ses doigts chatouillent mon têton laissant échapper un léger gémissement.
- Ferme les yeux Vincent..., il me sussure à l'oreille
Je m'éxécute, la bouche ouverte par ma respiration devenue trop forte pour être normale. Il enlève mon t-shirt avec délicatesse et entâme de m'embrasser longoureusement puis contenu son trajet dans le coup, le torse, les tétons, le ligne séparant ce qui aurait du être des abdos mais les miens sont bien médiocre étant trop mince pour me muscler. Mon nombril ni échappe pas et plus il se rapproche du bas du ventre plus l'adrénaline me monte à la tête et mon corps frissonne. Il défait ma ceinture dans une lenteur calculé presque une torture, je déglutis difficilement sachant très ce qu'il allait faire. Un peu tard pour cacher mon exitation et même si je suis anxieu je mentirai en disant que je n'ai pas une envie folle de sentir sa bouche dessus. 
- Tu me gate Vincent..., dit il de sa voix érotique
Mon éréction me faisait presque mal jusqu'à ce que je sente ses doigts se refermés déçu doucement, sa langue la parcourant de ton son long ! J'avais presque envie d'éjaculer toute suite ! Le plaisir était extra et alors que je crois ne pouvoir ressentir plus, après quelques minutes de vagabondage de sa longue, sa bouche si pulpeuse et ses lèvres fines couvraient mon sexe d'une chaleur presque reposante. Un feu inconnu me consumait ! Je n'aurai jamais cru avoir un tel plaisir et je ne me privais pas de l'exprimer je me remarquais que je hurlais presque ma jouissance divine ! Sa bouche...hum ! Les vas et viens devenant de plus en plus rapides je pouvais pas m'empêcher de gémir tout mon plaisir.
- Raphael...je...arrête je vais...AAH!! 
Je me suis déversés dans sa bouche sans pouvoir me retenir plus longtemps, je n'osais pas ouvrir les yeux de peur de voir son regard sur moi, j'avais honte de ne pas avoir put tenir plus longtemps !
- Quel regale..., dit il en revenant sur moi
- Je suis désolé...
- De quoi ? Tu as été super...elle est superbe ! Dit il en me taquinant
J'ouvre les yeux et le voit se lecher les doigts d'un air encore plus coquin, suivant le moindre geste de ses lèvres sur ses doigts j'en avais presque envie de bander à nouveau ! Je me suis secoué un peu la tête en voyant qu'il revenait m'embrasser passionément. Je ne regrette vraiment pas...cette félation était la meilleure que j'ai jamais connue ! Lorsque que j'entends soudainement sonner à la porte suivit de coup donner dedans.
- Vincent c'est Klay ! Ouvre je vais pas te laisser tout seul ! 
Quel boulet ce mec !! BORDEL DE MERDE ! Je regarde Raphaël se redresser me tendant mon boxer, je me suis rhabillé au plus vite pour ouvrir à cet imbécile qui ne cessait de défonser cette pauvre porte. 
- Quoi ? Je dis en ouvrant la porte agacer par sa venu non désiré
- J'ai apporté une pizza et des DVDs j'allais pas te laisser seul ! 
- Je suis pas seul, je dis tout sourire
- Ah c'est qui ?
Klay rentre sans même que je puisse dire quoi que ce soit il bloque quand il voit le prof assis naturellement sur le canapé où j'avais subit ce priliminaire trop vite interrompu, il pose les chips sur ma table de salon et se retourne étonné en me regardant. Je détourne le regard un peu honteux de les voirs comme ça tous les deux à me regarder bizarrement, j'y suis pour rien moi ! 
- Désolé de t'avoir déranger ! Tu discutais avec...monsieur Culigan
- Oui on parlait de mes grosses difficultés en maths ! 
Raphaël fume tranquillement puis se lève  et prend sa veste, je suis tenter de le supplier de rester mais ce conard de Klay est là planter comme un piquet avec sa pizza et ses DVDs. 
- Moi aussi j'y vais ! Dit il soudainement
- Au revoir Vincent, me dit mon professeur sans me lancer un regard
Est-ce qu'il m'en veut ? Klay part sans une réponse de ma part, je suis bien trop occupé par espérer de revoir Raphaël le plus vite possible ! J'ai peur qu'il m'en veut. Je m'avance vers ma fenêtre et le voit se diriger vers sa voiture, d'un pas léger et assurer. Il me rend dingue ce mec. Je souris béatemment en repensant à ce qui vient de se passer sur ce canapé lorsque je remarque des clés sur celui-ci. Merde ! Il a oublié ses clés ! Je les prends à la vitesse grand V et dévale les escaliers rapidement. J'oublie ma veste en haut et je me retrouve tremper à peine sortit du hall de mon immeuble, je cours vers le parking et l'aperçois enfin. 
- Monsieur Culigan vous avez...
Il est là, c'est bien lui, devant sa voiture noire, lui en train de parler avec Klay qui n'a pas l'air content jusqu'à ce qu'il l'embrasse fougueusement...comme il m'embrassait tout à l'heure,mon coeur se serre,la pluie fracassant le sol raisonne en moi,les clés tombent de mes mains et je n'ose même pas bouger. Le temps se fige ? Ou c'est moi qui sombre ? Ils me remarquent enfin, tous les deux. Ils me regardent bizarrement, Klay semble honteux et gêné, mon professeur lui...me regarde comme si je n'étais plus rien. Je ne suis plus rien...comment j'ai put être aussi con ?
- Vincent c'est pas ce que tu crois enfin...je veux dire que ! Enfin on s'aime tu sais même si c'est mon prof je l'aime tu comprends n'est-ce pas ?! Me dit Klay tout paniquer
Il croyait que mes épaules s'alourdissaient parce que je venais de surprendre un professeur avec son élève alors qu'en fait je venais de surprendre mon professeur avec un autre élève...mon professeur.
- Vous aviez oublié vos clés, dis je articulant à peine
Je jette les clés vers eux et fait demi tour, mes jambes avançaient toutes seules car je ne sais pas où j'étais exactement. Peut être étais je rester là sous la pluie à me ressasser la scène de notre ébat puis le baiser qui me brisa le coeur. Arriver dans l'entrée de mon hall je n'ai même pas pénétrer dans mon immeuble, j'ai continué tout droit, marchant sans savoir où aller, marchant sans savoir quand j'allais m'arrêter...j'étais brisé. Il se fichait éperdument de moi et moi comme un imbécile heureux j'ai cru être particulier alors qu'en fait, il doit se taper tous les petits jeunes du lycée, j'étais un imbécile heureux de plus. Comment j'ai put être aussi con ? Aimer un homme ! Quel idiotie ! Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce que...je pleure ?
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 17:09
                   Dire que j'y avais cru, dire que j'aurai été capable d'assumer cette homosexualité. Tu m'as brisé, je sais pas vraiment ce qui m'arrive mais j'ai l'impresion de sombrer, de ne plus être le même, j'ai l'impression que quelque chose en moi est parti ce soir là. 
- Merde il fait jour. 
Je  me réveille difficilement savourant mon petit week-end, dans mon lit. En fait ça doit faire quatre jours que je ne quitte plus cette pièce. Je paresse sur mon lit, le regard perdu dans le vide ne pensant à rien et rêvant à chaque fois à la même chose...lui. Mon corps ne répond même plus, le lendemain je ne me souviens pas de ce que j'ai fait la vieille car mes pensés sont emprisent de son regard, de cette trahison. Combien d'années cela fait il que je n'ai pas verser une larme ? Je m'étais forger un caractère à toute épreuve difficile, ayant eut un très bonne entrainement durant mon enfance j'ai cru que rien n'aurai put m'attendre. Croire, encore et encore, mais croire n'empêche pas mon coeur de saigner extirpant tous les sentiments les plus douleureux ; colère, tristesse, solitude, humiliation...l'amour. J'avais espérer encore une fois avoir ne serai ce qu'un peu de bonheur dans ma vie, j'avais espérer être particuliers pour une personne mais apparament tout ceux que je rencontre on le visage de mon père.  
Comment peut on être aussi naif ? Lequel de nous deux est vraiment en tord ? C'est ma faut d'être tomber amoureux d'un professeur dont je ne connais rien. Oui amoureux, j'aimais je n'aurai cur me l'avouer mais quoi d'autre peut il laissé une trace aussi infligente que l'amour ? Quoi d'autre peut il vous réduire à l'état d'un animal abattue ? Quoi d'autre peut il vous détruire à ce point ? Je ne vois rien d'autre que l'amour. Et le pire, c'est que je l'aime encore. 
Je décide enfin de me lever, ma mère va s'inquiété si je ne lui donne pas de mes nouvelles, je décroche le téléphone et l'appelle ilico-presto ! Elle a déjà dut recevoir les plaintes du lycée pour mes quatres jours d'abscences injustifiés. Je ne me souviens même plus si le téléphone à sonner. 
- Allo ? Dit elle d'une voix inquiète
- C'est Vincent...
- Vincent ! Chéri ! Tu te rends compte à quel point je suis inquiète impossible de te joindre et ta disparation soudaine ! Non vraiment là tu exagère Vincent !
- C'est rien je suis malade ça ira mieux Lundi, mentais je
Lundi, espérons le. 
- Bien mon coeur soigne toi bien et si tu as besoin de quoi que ce soit je viendrai sans hésité ! 
- Oui maman très bien bisous je t'aime.
Je raccroche brusquemment le fixe, ne voulant pas entendre ses derniers petits mots. Je ne supporte plus aucun mots doux sans que ca crée en moi une crise d'hystérie totale. Je me lève comme un mort et m'écrase sur mon matela, les bras écarter regardant le plafond d'un blanc cassé. Je suis vraiment pathétique, bon pour l'asile. Plongés dans mon blâme personnel et mentale je me laisse porter par une fatigue qui me gagne depuis quatre jours. Je me fais reveillé par la sonnerie de mon cellulaire, la tête qui tourne, je décroche avec amertume et me prépare à hurler sur le connard qui m'a sortit de mon sommeil. 
- Quoi ! Je m'écri
- Tu es chez toi ?
- QUI SAIT BORDEL ? 
- Ouvre la porte.
On se croirai dans un vieux film d'horreur débile ! Enervé je me lève brutalement. Petit malaise je me rassois le vertige me gagne, quel con ! Je me relève encore plus énerver et ouvre la porte à grande vollé. Mon regard se plante dans ses yeux rouges que j'ai toujours répugner de voir depuis quatre jours ! Sans même dire un mot je referme la porte mais Raphaël bloque avec son pied. Tant bien que mal je pousse pour pouvoir la fermer, sentant déjà les larmes me montés aux yeux. 
- Ouvres cette porte Vincent ! 
- Allez vous faire foutre ! Continuais je de pousser
Malheureusement avec la peau sur les os et lui son corps musclé il n'y a pas photos je m'écroule au sol, surpris par la force de sa poussé. Je me met les mains sur la tête d'agacement ! Il est vraiment le dernier homme au monde que je désir voir ! 
Il referme la porte calmemant de son regard frois il me regarde haut, puis il fait un tour d'horizon, comme la première fois...MERDE TA GUEULE ! 
- Qu'est-il arriver à ton beau salon ? Dit il sans aucune surprise dans sa voix
Je me relève et remarque le carnage, c'est vrai que le soir où j'ai reçu un couteau dans le dos je me suis assez bien défouler sur tout objet à porter de main. Pas la peine de rivalisé à ce que je vois de toute manière ça ne m'empêchera pas de resté muet. Plus énervé que jamais je chope mon dernier paquet de clopes et m'enferme dans mes chambre, là au moins je suis sûr qu'il ne viendra pas me faire chier ! Je ne veux pas le voir, je ne veux pas le voir. J'ouvre ma fenêtre un vent glacial me réveille totalement et j'allume ma petite dose de noctine de cette soirée qui risque d'être suivit de biens d'autres. 
Il faut oublier.
Il a allumer la télé, je vois qu'il prend ses aises en plus ! Je n'ai qu'à me dire qu'il est pas là, je n'ai qu'à me dire qu'il va partir. Je fume ma cigarette tremblant de rage et non de froid, ayant juste un t-shirt et un bas de pijama cella dit je doute un peu. Je referme la fenêtre et me dirige vers mon lit éteingnant la lumière, m'engoufrant dans mon lit espérant que tout ceci ne soit qu'un cauchemar...oui un mauvais rêves. 
- Vincent...ouvre la parte s'il te plait..., dit il d'une voix presque suppliante
Je m'efforce de ne rien entendre, mon coeur bat la chamade vais je resister longtemps ? Encore une fois j'en doute. 
- Vincent...il faut que je te parle...
- Moi je ne veux pas te parler tu comprends pas ?
- Ecoute je ne pensais pas que tu...enfin étais amoureux !
- JE NE SUIS PAS AMOUREUX ! 
- Alors pourquoi est-ce que tu pleures Vincent...
Comment...je ne veux même plus le voir ! Il me dégoute
- Retourne avec Klay lui il t'aime vraiment ! Pour moi t'étais qu'un plan cul j'en ai rien à foutre ! Et tu veux que je te dise tu me répugne toi et les autres sales tapettes dans ton genre ! Casses toi de chez moi. 
Je n'ai fait que dire tout le contraire de ce que je pensais...y compris la dernière phrase. Je ne l'entendais plus, l'ai je blessé ? Je me sens tout à coup coupable, je n'avais pas forcément envie de le blessé...enfin si je voulais ! Mais...roh je sais plus rien je suis perdu. 
- Je suis désolé de t'avoir fait souffrir...tu as raison je ne suis qu'un plan cul.
J'entends ses pas marteler mon parquet, une voix en moi me hurle de lui courir car sa voix sur sa dernière phrase semblait déchiré de l'intérieur. Que faire ? Non je ne peux pas ma fierté m'en empêche ! Pourtant...et merde ! Je me lève très rapidement pour ouvrir la porte de ma chambre en le voyant sur le pas de la porte et se retourne vers moi les yeux brillant sous la lumière du salon, je crois voir de la culpabilité dans son regard. J'ai l'impression qu'il s'écroule par terre je vais pour l'aider quand je réalise que c'est moi qui voit le sol incliner...
- Ne pars pas, je murmure en le voyant s'approcher
- Ca fait combien de jours que tu n'as pas manger ? Dit il inquiet
- Ne me laisse pas Raphaël...ne me laisse plus...
- Je m'en veux beaucoup Vincent pardonne moi ! 
Quel étrange garçon, il peut me paraitre si froid et si doux à la fois ! Je suis subjuguer par sa complexcité qui ressemble beaucoup à la mienne. Finalement on est deux gamins qui ne savent pas du tout ce qu'ils veulent. Enfin si moi je sais ce que je veux...c'est lui. Il me porte jusqu'à ma chambre et me pose sur le lit pendant qu'il disparait dans la cuisine, qu'est-il en train de faire ? A manger ? C'est vrai que je commence à avoir faim et me faire servir par mon cher professeur est une perpective très agréable. Voilà la première fois que je souris depuis quatre jours, la personne qui a le pouvoir de vous détruire et de vous rendre le sourire à la seconde, c'est ça l'âme-soeur ?
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 16:44
                    - Vincent je dois y aller je peux pas rester, dit il serrer contre moi
A moitié endormis je savais pas trop qui me parlait en tout cas c'était une belle et douce voix, tellement douce qu'elle me chatouillait l'oreille. Raphaël ! Merde ! J'ouvre brusquemment les yeux, une monté d'adrénaline allucinante ! Il était bel et bien là, dans mon lit, avec juste un petit boxer qui moullait parfaitement son...enfin voilà quoi ! Ce qui m'étonne le plus c'est qu'on a rien fait...je suis dégouté. 
- Vincent tu m'entends ? Repète-il en soufflant dans ma nuque
Je n'arrive même pas à parler tellement mon émotion est grande j'ai envie de sauter au plafond ou de le sauter tout court...oula je pars dans mes fantasmes là ! Je me retourne doucement les yeux rivés sur les siens qui devaient être ouverts depuis bien longtemps, les miens avaient dut mal à s'habituer à la lumière de ma lampe. Je remonte les couhettes jusqu'à mon menton et me serre contre lui en gémissant un peu, vous savez ce fameux "hum..." qui veut dire " reste avec moi...". Il me regarde longueument, je continu mon cinéma les yeux de merlan fris essayant de le faire céder. Il me sourit. JE SUIS LE MEILLEUR ! Il se recouche et me serre contre lui tout en carressant la rai de ma colonne vertable remontant le long de la nuque, carressant les cheveux et rebelote. Je suis tellement bien au creu de ses bras que jamais je ne voudrais m'en séparer, je sais maintenant qu'il est sincère ! Enifn je l'espère...bah oui ! C'est quelqu'un de patient je me demande combien de fois il a put faire l'amour avec un homme ? Oui parce que moi même si j'y pense beaucoup, je suis pas sûr d'être pret que ça soit en passif ou pas !  
Je relève les yeux pour regarder son visage serein et décontracté, il observe un point invisible devant lui sans cesser de me carresser. Il est tellement beau, j'en rougis sans pour autant en bander ce qui est déjà pas mal ! C'est la seule partie de moi que j'ai encore du mal à contrôler. 
- Parles moi de toi, je dis soudainement en posant ma tête sur son torse chaud
- Que veux tu que je te dise ? Dit il amusé
- Tout ! Je veux savoir tout...
- Pars tout je suppose que tu entends ma sexualité...
Comment il sait ? Il me ferai presque peur. 
- Ou-oui.
- Je l'ai toujours sut...j'ai toujours sut que j'étais homosexuel mais je l'ai également toujours repoussé.
- J'aimerai savoir pourquoi hier quand tu as dis que tu n'étais qu'un plan cul tu semblais triste...
J'allais me risquer, c'est vrai que ça me tracasse assez j'ai toujours cru que c'était lui qui me prênait pour un plan cul. 
- Tu sais il y a beaucoup plus de gay que ce que l'on croit et la plus part cherche juste un plan sexe...histoire de goûter ! Même si moi je répoussais cette facette j'ai céder à un garçon beaucoup plus jeune que moi...un élève. Il m'alluma comme un fou, je n'ai pas sut resisté surtout qu'il avait tout d'un homme parfait, gentil, romantique, souriant ! Ce garçon respirait la bon humeur ce que je n'avais pas. 
J'absorbais chaque parole comme si c'était les miennes et malgré moi une pointe de jalousie m'envahis quand il parlait de ce fameux élève. 
- Que c'est-il passé ?
- Je n'étais qu'un plan cul, dit il un sourire mélancolique sur la bouche
Je ne savais pas trop quoi répondre à ça, son sourire cachait tellement de tristesse que j'en avais presque envie de lui hurler que pour moi il ne sera jamais juste un plan cul ! Pourtant ma fierté m'en empêchait par peur de le faire partir peut être. Un amour dit trop vite pourrai le faire fuir vu qu'il ne connait pas vraiment cette facette, à moins que...il a été amoureux de cet élève ! 
- Tu...tu étais amoureux...
- Je sais pas si on peut appeler ça comme ça...oui enfin je pense que oui j'en étais éperdument amoureux...
Pour toute réponse je me suis redresser et lui est volé un baiser ! Rare était les fois où je prennais les devants mais j'avais peur qu'il craque je ne sais pas. Je sais qu'on est pas tous comme moi mais ça voix me déchirait le coeur à chaque fois que je le voyais conter cette histoire mal finit. Ce baiser signifiait peut être aussi ma peur qu'il s'en aille ? Ma peur de le perdre en somme. Il m'a simplement sourit et à repris mes lèvres délicatemment pressant sur ma nuque pour l'approfondir. Ce mec me fait rêver. Finalement on a décidé de se lever et il est rentré chez lui sans un baiser d'adieu me demandant d'être présent au prochain cours, je pouvais pas rester toute ma vie dans un petit appartement, puis maintenant on était plus en froid. Il restait quand même quelque chose. 
- Tu n'oublies pas..., dit en le regardant partir
Il se retourne étonné.
- De quoi ? Dit il intrigué
- De rompre avec Klay...
- Klay...mais je ne sors pas avec...
- Alors fais lui comprendre car je ne crois pas qu'il partage ton opinion si tu ne romps pas avec pas la peine de revenir ici. Dis je d'une voix ferme
Il semble hésitant, surpris mais il me sourit quelques secondes après. Un sourire qui me met du baume au coeur et me donne des frissons. Dans sa démarche sûre et masculine il quitte mon appartement laissant derrière lui un vent nouveau. Je suis rentré dans la douche les idées en place, heureux comme jamais, me rememorant tous les beaux baisers et sourires qu'il a put me faire. Je suis sûr de l'aimer comment ne pas l'aimer ? Il est tendre, mystérieux, délicat, charmant ! Il a tout de ce que j'ai toujours voulus et le sentir qu'à quelques mètres me rassure tellement que j'ai envie de lui sauter au coup. Je suis sorti de la douche et j'en ai profité pour réviser un peu avant mon entrée en cours demain, ne surtout pas arriver comme un ignorant ça serai un peu exagérer ! Puis maintenant j'ai quelqu'un pour qui je peux faire des efforts, maintenant je suis plus seul. 
Il est avec moi.
Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 17:03
                        Je rentre dans la salle de cours seul, Klay ne me parle plus. Je ne sais pas si Raphaël a "rompu" avec lui mais ce que je sais c'est que mon premier ami dans ce lycée ne veut plus me parler, il ne me regarde même plus. Je peux comprendre qu'il me déteste, il doit bien se douter que je flirt avec notre professeur, celui pour la quelle on se bat. 
Quelle idiotie. 
Comme d'habitude j'écoute d'une seule oreille et passe l'heure à regarder le froid givré sur les vitres humides par la chaleur de la salle, les gens se pressent dans la rue, ils remontent leur veste, courent jusqu'à leur voiture, marchent des sacs en main ou encore couvrent leur bébé correctement. J'observe une mère qui essaye tant bien que mal de calmer son enfant, je le vois crier de loin mais ne l'entends pas. Cette vitre empêche le son, je vois ses petites mains se crispées se serrer tout en pleurant réchauffant ses joues rosés. La sonnerie me sort de ma contemplation et calmement je me dirige vers la sortir, je ne suis pas vraiment d'humeur aujourd'hui, le visage blème je marche doucement dans le couloir manquant de me faire bousculer plusieurs fois. Je regarde derrière moi et remarque Klay rigolant avec ses amis, chahutant tranquillement et moi il m'a effacé, je suis un mec effacé de toute manière pourquoi être surpris. Je ne demande rien à personne. 
Je marche d'un pas plus rapide remontant ma veste noire sur mon coup et rentre ma tête dans les épaules pour sortir de cette prison au plus vite. La nuit tombe si tôt en hiver espérons que je ne rencontre pas des gars bizarre comme la fois où je suis allé en boîte. En y réfléchissant vu ce qui s'est passé après ce n'était pas plus mal...
- On peut savoir ce qui te fais sourire ? Me demande une voix non étrangère
Je me retourne doucement, avalant ma salive : l'heure de l'affrontement a peut être sonné...peut être. 
- J'ai le droit de sourire non ? Dis je naturellement 
- J'espère que t'es content de toi..., dit il le regard plein de haine
- De quoi tu parles ? 
Finalement jouer la carte de celui qui n'est pas au courant n'est pas une aussi bonne idée j'ai l'impression qu'il va me sauter à la gorge. 
- Je t'avais pourtant dit que je l'amais..., dit il d'une voix plus brisé
Son expression changea du tout au tout ! Il pris soudain un regard anéanti, des larmes noyaient ses pupilles marron dans un mélodrame atroce. Je me mettais à sa place...si Raphaël l'avait choisi dans quel état je serai ?
- Ecoute je ne l'ai pas forcé mais il devait faire un choix...je suis désolé Klay...
- T'ES QU'UN CONNARD !! Il cria sa rancoeur, un putin de fils de pute ! Tu me l'as enlevé bordel ! Je n'ai plus personne...seul...
- Tu en aura d'autres tu sais ! 
- J'en veux pas d'autre...tout comme tu n'en veux pas d'autres.
Il baisse les yeux honteux pour un garçon de craqué, il se retourne et s'en va en courant. Je me sens coupable de lui infliger cette peine mais c'est ainsi je ne peux rien y faire car moi aussi j'en ai besoin...moi aussi j'étais seul et c'est avec moi qu'il est enfin...je l'espère. 
Je rentre dans mon appartement vide, je lance mon sac dans un coin et me prépare un petit truc à grignoter avant de prendre une bonne douche chaude. Je ne sais jamais quand est-ce qu'il vient à vrai dire, jusqu'à maintenant il est toujours venu dans les alentours de dix heures épuisé et tout ce qu'il désire c'est m'embrasser. Je ne refuse jamais. 
Douche fin prête, je me frotte les cheveux en entrant dans mon salon j'allume ma télé et regarde les infos, même si j'aime pas forcément, ils n'annoncent que des drâmes, des guerres, des mauvaises nouvelles en somme mais jamais quelque chose de sympa ! Je zape sur une émission télé-réalité assez marrante. Ma serviette sur l'accoudoire je la regarde en riant de temps en temps quand l'un des gars s'explosent la gueule ou sort une connerie phénomènale. La porte s'ouvre laissant place à une longue veste noire et un attaché caisse, le propriétaire s'accoude à la porte pour enlever ses chaussures puis il vient s'assoire à côté de moi. Il m'embrasse furtivement pour me dire bonjour voyant que j'étais captivé par mon émission, il en rit pour se moquer de moi, je sais qu'il n'aime pas ça. 
- T'es obligé de regarder ce genre de connerie, dit il sarcastiquement
- Tu veux voir un film ? Y a " I am legend " sur les chaines du sat' ! 
- C'est mieux que ta connerie, dit il amusé 
Je zape de chaîne rapidemment, Will Smith est en train de se réveillé pendu à un fil. Moi j'ai déjà vu se film au cinéma je l'ai trouvé super à vrai dire, l'histoire n'est pas très original puisque Resident Evil et d'autre film avait déjà l'idée de base. Seulement l'histoire reste émouvante et quelque peu différente. 
Comme un gamin je pose ma tête sur ses genoux absorber par la film, ses mains me carressent les cheveux jusqu'à ce que je ne sente plus rien. Très vite le film se finit et je me relève pour voir son visage endormi paisiblement, semblant faire un joli rêve sur sa bouche je peux lire un léger sourire. 
- Bonne nuit doux prince, dis je en lui donnant un bisous sur le coin des lèvres
Il sourit un peu plus et m'attrape brusquement le coup pour me faire basculer sur le canapé et se mettre au dessus de moi. Il a l'air tout à fait réveillé, son immaturité soudaine me faire rire moi qui croyait que c'était un homme beaucoup trop sérieux je vois qu'il sait rire également. 
- Finalement tu es très fourbe mon cher professeur, dis je d'une voix sensuelle
- Tu me croyais si grincheux ?
- Non mais tu ne faisais pas vingt-sept ans...peut être trente ! 
- Petit malin tu vas voir ! 
Il me fait des chatouilles et je ne peux pas me retenir de me tortillé et rire de bon coeur le suppliant d'arrêter. Comme beaucoup d'entre nous je crains les chatouilles mais moi c'est vrai grave ! Il l'a remarqué quand on dormait il m'avait à peine frôler que j'ai rigolé ! D'abord ayant peur qu'il se vexe je me suis excuse lui disant qu'il me chatouillait, contrairement à ce que je croyais il n'était pas du tout vexé ! Il a profité de ma faiblesse. Alors qu'il s'arrêta je réussit à reprendre mon souffle doucement, ne le lâchant pas du regard celui ci devenait de plus en plus sérieux et pénétrant. Il me donnait des frissons.
Dans une lenteur calculé il s'approche doucement, hésitant, avec précotions de mes lèvres, je suis le trajet de mes yeux la bouche légèrement entre ouverte prêtent à accueillir sa langue. Il dépose un baiser long sur mes lèvres, la douce sensation de celle ci pressé contre les miennes me réchauffe le coeur. Il approfondit le baiser et je laisse le passage pour qu'il puisse trouver la mienne, timide pour faire l'amour à la sienne il vient lui  même la chercher. Un baiser intense, appaisant et torride à la fois. Il se retire brutalement le souffle court, sans cesser de me regarder je pouvais voir le désir animé son esprit. C'est comme si il me demandait la permission d'un simple regard long, doux, rassurant. Je lui sourit et m'aggripe à son coup pour lui posé une multitude de petit baiser sur ses lèvres et les coins. 
- J'ai envie de toi Raphaël..., je lui murmure doucement

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Lundi 14 janvier 1 14 /01 /Jan 23:45

Une suite que pas mal attendent ! HIHI la première fois que je fais un lemon soyez indulgent ^^"
je vous remercie pour tout vos commentaire ! ^^ merci énormément !! 
JE VOUS ADORE 



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- Ooh Raphaël !! Je gémis plus fort
Sa félation est parfaite, je sens sa langue divagué sur mon penis durci par le plaisir, son regard désireux sur moi de temps à autres. Sa main vient me carresser la peau doucement jusqu'à mes mamelons rouges de plaisir, mes joues en feu je n'arrive pas à m'empêcher de hurler mon plaisir. Alors que je sentais que j'allais éjaculer il se retira à temps, voulant surment me faire attendre ou me frustrer un max pour que je sois encore plus entreprenant. Je me lève brusquement de mes draps blanc pour attiré son visage vers le mien et prendre sa bouche avec voracité ! Mes ardeurs ne font qu'augmenter et ses mains sur ma nuque approfondissent notre baiser digne des plus grands. Je défait sa ceinture doucement tout en ne le lachant pas des lèvres, ses mains glissent dans mes cheveux châtain qui s'écrasent devant mes yeux. 
- Tu me rend dingue..., je soupir 
Il sourit et m'embrasse par la suite dans le coup pendant que je descend son patalon noire, fin, j'en profite pour m'attarder sur ses fesses bien rebondit, rondes : parfaites ! Tout est parfait chez lui ! Par dessus le tissu je frotte la rai je sens une réaction direct qui m'excite encore plus. Il me mord la peau légèrement de mon coup en gémissant doucement. Ses mains sur mon torses qu'il continue de carresser avec tendresse et volupté. J'introduis une main dans son boxer délicatement faisant bien expret de le faire gémir, fier de moi je continu. L'entendre murmurer mon prénom me donne des frissons jamais je n'ai connu une telle euphorie et béattitude ! C'est l'extase ! Je me sens pousser des ailes. J'aimerai le prendre immédiatement, ses petites fesses me font rêver j'aimerai qu'il hurle mon nom pendant que nos deux corps se frottent à en devenir rouge. 
Je renverse la vapeur et me retrouve au dessus de lui, je plaque ses mains au dessus de sa tête et l'embrasse tendrement cette fois, jouant au chat et à la souris avec sa langue humide et chaude. Une langue experte et délicieuse. 
Nos deux sexes collés l'un contre l'autre ne fait qu'accentuer l'intensité de la chaleur dans cette pièce c'est devenu un véritable magma qui émerge de nos corps, un volcan pret à cracher flammes. Je carresse du bout des doigts sa clavicule pour descendre avec l'indexe traçant une ligne invisible qui délémiterai son corps musclé en deux. 
- Vas y Vincent n'est pas peur..., dit il en gémissant
Ma main maintenant arrivées à son nombrile ralentissent pour faire durer le désir et la frustration, j'avance doucement mais surement, je carresse d'abord les contour pressant bien vers l'intérieur. Il pousse une grimace de plaisir et se courbe rapprochant son sexe durci contre le mien qui allait exploser ! Ma respiration régulière était bruyante et érotique, j'aurai jurer voir de la buer dans la pièce. 
Je décolle ma langue de sa bouche et descend dans son lobe que je mordille avec délice, descends dans son coup, l'entré de son torse. 
C'est comme découvrir un nouveau pays, on en apprecit les joies du paysage, on apprend à connaître. Raphaël m'aurait demandé la Lune que je serai allé la chercher même à pied si il le fallait, je suis fou amoureux de lui ! Je ne sais pas ce qu'il arrivera si jamais il partait ! Je pourrai pas le supporter. Il est une partie conséquente de moi et je ne sais pas comment l'expliquer. Il ne m'a rien apporté de particulier, il n'a pas vraiment fait quelque chose de miraculeux pour moi mais je l'aime c'est tout. Nous n'avons pas une histoire qui s'inscrirait dans les tragédies de Racine ni dans les romans romantiques où le couple à des problèmes énormissime ! Je l'aime c'est tout, l'amour ne s'explique pas. Il se montre.
Je continu ma traversé sur sa peau chaude et douce, je bisouille l'entré de son boxer et attrape le tissu avec les dents que j'enlève doucement, suivit à la trace par mes mains. 
- Vincent...humm...ne fais pas croire que tu n'as jamais rien fait avec un homme ! Dit il étonné tout en sueur
- Je t'assure que c'est vrai...ça ne te vas pas ?
- Oh si c'est parfait ! Il attrape mon bras pour me rammener à lui et m'embrasse passant sa main dans la corbure de mon dos.
Une corbure bien trop imposante à mon gout. Mais mon petit cul à l'air de lui faire de l'effet en tout cas. Je souris et attrape sa langue avec mes dents de malice, pendant quelques secondes il semble amusé également, je reprend possession de celle ci. C'était peut être ma façon à moi de dire qu'elle m'appartien, à moi et à moi seul. 
Mes mains descendent vers son sexe, je passe dessus comme un coup de vent frôlant à peine la verge, refait le trajet dans l'autre sens en s'approchant un peu plus jusqu'à ce que ma main carresse celui ci de son long,lentement, sadiquement je jouis intérieurement de voir qu'il n'en peut déjà plus, lui qui a beaucoup plus d'expérience que moi ! Ce n'est pas lui qui ne tient pas longtemps, c'est moi qui m'y prend mieux que ce que je ne le pensais. 
- Je t'en supplie je....
Il n'a pas le temps de finir sa phrase que j'engouffre l'engin dans ma bouche, un oquet de surprise l'empêche de parler et laisse place à des respirations saccadé, plus mes vas et viens vont vite, plus il se arque. Sentir la verge d'un homme dans sa bouche est assez bizarre sur le coup, mais on y prend vite gout ! Rien que de l'entendre jouir me donne de l'appetit, l'appetit de l'entendre crier encore plus fort. Comme jamais. 
- VINCENT ARRETES...JE AAH ! Dit il dans un cri de jouissance
J'arrête ma félation n'étant pas pret à gouter à sa semence pour le moment je remonte dans la façon la plus sensuelle laissant ma languer vaqué à son gout. Raphaël ne semble pas aussi patient, il me remonte brusquement et m'embrasse engouffrant sa langue au plus profond de ma bouche, me serrant contre lui, titillant mes mamelons. Je crois que je l'ai chauffé à mort ! Il est si torride que mon érection commence à me faire mal ! J'aurai presque trop chaud, je sens mon coeur exploser dans ma poitrine, je n'arrive même plus à souffler.
Je retire ma bouche de la sienne restant à quelques centimètres quand même, retrouvant de l'oxygène, sa bouche humide essoufflé également ne semble pas rassasié car il attire ma tête vers lui en me prenant par la nuque et m'embrasse le coup, mordillant la peau, léchant sensuellement l'épiderme en fusion. 
L'atmosphère ne fait qu'augmenter c'est une chaleur étouffante, mais tellement bonne ! Je n'ai jamais ressenti ça ! C'est à en devenir dingue. Il me regarde dans les yeux pendant quelques minutes, les goutes de sueur perlant déjà mon front mon souffle contre son visage, il prend ma main droite et lèche l'indexe sans me quitter des yeux. Je me sens tout gêner, encore plus excité (si c'est possible), son sérieux me fait vibrer, il lèche avec abondence puis s'approche de mon oreille les lèvres mouillées de salive.
- Vas y...
Ne lui demandant même pas de quoi il parlait, j'ai écarté ses jambes doucement avec les miennes, carressant ses parcelles de peau. Il ferme les yeux attendant patiement, sa tête bascule sur le côté quand je touche la rai. Je souris rouge de gêne mais tellement heureux d'enfin pouvoir assouvir mes envies avec l'homme que j'aime. 
J'approche de la cavité et introduit un doigt d'abord, il arque de plaisir remuant un peu les hanches pour que j'enfile vite le deuxième qui ne se fait pas prier. Je remue un peu l'intérieur pour bien dilaté il a l'air d'avoir l'habitude. 
- Maintenant Vincent j'en peux plus...
Je me redresse doucement l'embrassant avec fougue, me préparant, soulève un peu ses hanches et le pénètre d'un coup sec et brusque. 
Il cri de douleur d'abord, je reste à l'intérieur de lui pour qu'il s'y habitue d'abord. Comment vous dire ce que je ressens ? C'est mieux que n'importe qu'elle rapport, c'est le sommum ! Son étroitesse, me sentir à l'intérieur de lui me fait encore plus suée, me rend heureux à un point que je serai capable de le crier sur tous les toits. Je commence quelques vas et viens doucement pour bien élargir, il continue de grimacer de douleur pendant quelques minutes, je commence à m'inquiéter est-ce si désagréable ?
- Ca va ? Je demande inquiet
- Continues surtout ne t'arrêtes pas..., dit il la voix cassé
Je continue alors, suivant ses conseils, je me sens un peu coupable d'être le seul à prendre du plaisir en sentant ses fesses serrés contre mon pénis. 
Des vas et viens doux, il semble prendre de plus en plus de plaisir, je sens à nouveau ses hanches remuées demandant plus. Je met mes bras contre le lit positionne ses hanches comme il faut pouvant ainsi l'embrasser avec tout le plaisir qu'on prend ensemble. Un coup de rein plus rapide il s'agrippe à mon dos, je continue, des coups de rein de plus en plus violent qui fait grincer les lates de bois de mon lit mais vite remplacer par nos deux gémissements. Ensemble nous jouissons de l'instant, les corps se frottant de plus en plus brutalement, ses mains griffant tout mon dos, mes lèvres proches des siennes je carresse avec ma langue sa petite bouche ouverte. Il ouvre les yeux plein de désir et d'extase et m'embrasse avec avidité, ses mains se posent sur mes fesses accompagnant les allers et retour pressant contre elle à chaque pénétration. C'est dans un dernier orgasme qu'on se vide ensemble à quelques secondes d'intervalle, moi plus jeune bien sûr. 
Je m'écroule sur son corps épuisant sentant tout mes muscles brûlés par l'effort ou de désir je ne sais pas trop. La respiration courte et coupé, la sienne plus stable mais la tête contre son torse humide je peux entendre son coeur battre la chamade. 
J'en souris content d'avoir été à la hauteur, je sens ses bras m'entourer tout en me carressant le rai de la colonne du bout des doigts. 
- Merci..., dis je dans un souffle 
- Tu étais parfait...
Je t'aime Raphaël.   
    

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Lundi 21 janvier 1 21 /01 /Jan 21:37

                           Je sens un bras me secoué brutalemment, mes yeux s'ouvrent doucement remarquant que je suis dans une salle de classe et que mon professeur d'anglais me lance des éclairs. Je me contente de la regardé d'un air complètement à la masse, elle ne m'impressionne pas du tout. Finalement elle reprend son court sans perdre son temps avec moi, j'allais remercier celui qui m'a sortis d'un rêve super érotique avec Raphaël me ressassant la nuit que j'avais passé avec quand je me suis rendut compte que c'était Klay.
- Tu me reparle maintenant ? Je lui demande
- Je suis pas rancunié. Dit il en évitant mon regard
- Je ne peux pas te dire que je regrette ça serai te mentir...
- Je sais.
Il ne deigne toujours pas me regarder, je continu de le fixer jusqu'à ce qu'il pose les yeux sur moi enfin. Quand ce fut fait, il soupira longuement déjà agacer de voir que je gagnais cette manche, j'ai affiché un grand sourire de satisfaction et il ne put s'empêcher d'y répondre par un petit rire qui le trahissait. 
J'ai repris ma sieste toujours en regardant la buée se geler sur les vitre, les pigeons passant devant comme si pour eux l'hiver était un temps comme les autres.
Je deteste les oiseaux.
La sonnerie retentit, je sors de cours le premier, je cours presque dans les couloirs et freine en arrivant devant la salle de monsieur Culigan, celui ci ferme la porte derrière lui et me voit. J'affiche un grand sourire timide et lui lance un "bonjour" qu'il répond sur le même ton : c'est à dire doux et naturel.
Je sens sa main effleurer la mienne doucement, un frisson de bien être me parcours l'échine, on peut dire qu'il sait me faire tourner la tête. 
Je me retourne pour voir ses fesses remué au rythme de ses pas, je ne semble pas le seul à le regardé mais je sais que je suis le seul à qui il carresse la main au passage, ce qui me remplissait de fierté. J'affiche un sourire niais et reprend ma route plus heureux que jamais, que tout le monde voit enfin quel homme heureux je suis devenu ! 
- Monsieur Mayon, m'interpella le principale
- Oui ?
- Puis je vous voir en privé dans mon bureau ? Il demande l'air grave
Mon coeur rebondit dans ma poitrine, c'est-il passé quelque chose ? Est- il au courant pour moi et Raphaël ? 
Je rentre dans cette pièce étroite, entourer de casier, commode, tableau je me sentais ettouffer rien que son regard sur moi me rendait nerveux. Je ne me sens vraiment pas à la l'aise. Les mains moites je m'assois sur l'un des sièges tout en gardant un oeil sur ce qui m'entourait je priais stupidement pour pas que ses murs se referment sur moi. Je me sentais vraiment pris au piège.
- Nous avons un soucie Vincent..., dit il en joignant ses mains le regard plonger dans le mien
- Un soucie ? J'avalais difficilement ma salive 
- Oui.
- Qu'est-ce qui se passe ? Je demande inquiet
- Votre mère est à l'hôpital...
Mon souffle en était couper, je ne savais pas quoi faire, je n'entendais que le son qui sortait de sa bouche, j'avais l'impression de ne plus être en vie. Tout mon organisme c'est arrêter de fonctionner.
- Il semblerai qu'il y est eut une grosse dispute chez vous entre votre mère et votre père...il y a eut coup monsieur Mayon...
- C-coups...ma mère...
- Monsieur Mayon les policiers vont bientôt arriver pour vous interroger je vous demande de rester calme.
- Ca..calme...
Anesthésier, je ne faisais que répéter ce que mon cerveau arrivait à déchiffrer. J'étais déjà hors de cette pièce, mon âme courrait déjà dans l'hôpital cherchant ma mère l'appelant et hurlant son nom à travers les murs froid.
- Votre père est au commissariat actuellement vous n'aurez surement pas le droit de le voir et je pense que vous n'en avez pas envie. 
Je me lève sans même attendre qu'il me le demande, sans même attendre ses foutus flics je marche lentement, comme un cadavre qui serai revenu sur terre. 
Comme une personne à qui on avait annoncé la fin du monde. 
Les gens me regarde étrangement l'homme lobotomisé qui marchait à côtés semblait canalisé sa colère ou alors la chercher. 
- Vous êtes Vincent Mayon ? me demande un voix grave
Je relève les yeux et tombe nez à nez avec un agent de police, le regard perçant tel un robot répétant simplement ce qu'il a put apprendre en regardant miami vice. 
- Ne le brusquez pas monsieur l'agent il est encore en état de choc..., dit la voix de mon principale derrière moi
C'est le mot, je suis en état de choc. Je dirai même mieux ! Je viens littéralement de me prendre une balle en plein coeur et il ne me reste que quelques heures avant le râle d'agonie. Je me retrouvais dans une voiture noir et blanche, les autres élèves me regardaient comme un criminel ce demandant quelles conneries à put faire le nouveau.
Quelques minutes.
Ils ne branchèrent pas les sirènes mais ça ne les a pas empêcher d'essayer de me réveillé de mon coma. Jusqu'à ce que la voiture s'arrête devant l'hôpital.
Quelques secondes.
Le premier agent ouvre la porte du camion et me prend le bras comme un mourant m'emmenant à l'intérieur, demandant le chambre de Madame Mayon. 
Maintenant ? 
Je me retrouve face au corps meurtris de ma mère, mon pas n'a même pas ralentit devant la porte, mes mains ne se sont même pas mises à trembler et mes yeux ne pleurent pas encore. 
Maintenant ? 
J'attrappe le bord du lit de mes deux mains, examine le visage défiguré de ma chère et tendre mère, je ferme les yeux un moment. 
Non ce n'est pas possible.
Je les ouvre, cette image, ce spectacle m'explose en pleine figure ! Ma mère bander de partout, blessures, ématomes, contusions, fractures ! Ses lèvres violettes devenuent enflées sont à peine visible derrière tous ses pensements. Son bras droit cassé et trois de ses côtés cassés, ses yeux clos essayant d'extirper la douleur de ce corps hurlant déjà l'achèvement. 
Maintenant...
Je tombe des nus, mes genoux cèdent, je reste là planter, soufflant mon dernier souffle. La vision de son visage se rapproche...encore...encore...Mes yeux s'écarquillent, mes poings se serrent puis se desserent. Je fixe mes mains comme si j'étais l'assassin...
Une goûte. Deux goûtes. Trois goûtes.


- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!
 

Par Danouch - Publié dans : I need your love
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Texte Libre



L
a meilleure façon de remercier un auteur
 
604

est de lui laisser un commentaire  ^^




 
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